Sujet: Puzzle d'une vie. Fondation d'un monde~ Liens Mar 2 Fév - 17:06
Lien. Simple mot au sens si complexe. Les liens sont-ils gage de force ou de faiblesse ? Font-ils office d’attache ou de chaine ? Peut-être les deux ? Peut-être pas. N’est-ce pas à chacun d’y voir ce qui lui plaît ? Si. Bien sur que si.
Johan, individu singuliers parmi les tordus, a sa manière bien à lui de créer des liens. Des termes comme « amitié » ou « amour » sont pour lui dénué de sens. Pour le moment du moins. Pour lui chaque rencontre est une joie, peut importe ce qu’il peu bien en résulté. Et chaque lien est une pièce. Pièce du puzzle qu’est son monde. Leur emplacement, leur forme, leur originalité tout cela dépend de bien des choses. Le comment, le pourquoi. Comment ce sont-ils rencontré ? Pour quelle raison ? C’est ainsi que se construit sa vie. Certaines pièces on peut-être plus de valeur que d’autre, de part leur position ou leur forme, certaine seront plus singulière, plus expressive. Mais Toutes constituent son existence. Sans exception.
Le centre.
Point de départ de son existence, c’est ici qu’à débuté le puzzle. De part leur position, Johan y accorde une importance toute particulière. Après tout c’est avec ses pièces que son monde prit forme.
L’entour.
Cela constitue une grande partie de son puzzle. L’entour contient toutes les rencontres qui, bien que n’était les plus chers à son cœur, demeure un fondement important de son monde. C’est généralement ici que ses liens débutent. Après quoi se lien grandira et s’épanouira gagnant ainsi en importance à ses yeux.
~ L'enfant avait volé, l'enfant fut attrapé. Une distraction, un combat, un dessin, envol.
Spoiler:
Il n’était pas de ceux se contentant d’aider son prochain par pur altruisme, c’était un fait. Au fond qui pleurerais se môme ? Sans doute orphelin qui plus est. Il avait tenté de voler pour manger, ne c’était pas montré suffisamment prudent, c’était fait attrapé. Par un garde un peu grassouillet certes mais plus alerte qu’on aurait pu le croire. Dans un sens c’était sans doute son apparence de type banale et rondouillard qui lui permettait d’épier les gens sans se faire remarquer. C’était ainsi qu’il avait surpris le môme, L’attrapant par le poigné sans retenu, il lui avait sans doute tordu ce dernier. L’enfant laissa échapper un cri, puis un gémissement. Le cri pour la douleur, le gémissement pour la situation. Il était un voleur, et venait de se faire prendre sur le faite. Il était vraiment, vraiment mal. Il existait deux options dans ce genre de cas. Sois il offrait des informations sur la rébellion la piraterie ou quoi que se soit d’utile a l’empire et se voyais gracié, sois il se faisait trancher la main. Et à son âge, avec une main en moins et nulle part ou se rendre pour se faire soigné… Une main tranchée était synonyme de mort lente et affreusement douloureuse. Son âge d’ailleurs, parlons en. L’enfant n’avait sans doute pas plus de neuf ans… quel genre d’information pouvait-il possédé ? Aucune bien sur, c’était pour cette raison qu’il avait gémis et non pas espéré. Il n’avait rien à offrirai, et se ferait tranché la main.
Le sang coulerait à flot de sa plaie, mais il tenterait le tout pour le tout et, par désespoir, finirait finalement à arrêter l’hémorragie. S’en suivrait une vie horriblement difficile. Déjà qu’avec ses deux mains, il avait eu du mal à survire alors avec une seul… Il en serait réduit au plus basse besogne devrais faire les poubelles pour pouvoir manger et vivre ainsi jusqu’au jour ou, finalement sa plaie s’infecterais. Il n’avait pas d’autre échappatoire, le miracle n’existait pas. Sa chair pourrirait et finalement par la faute d’une main, tout son être périrait, noyé dans la douleur et le désespoir.
Mais que pouvait bien y faire Johan ? Des gosses comme lui il y en avait à la pelle, il n’allait pas tous les aider. Il n’était pas assez bon pour cela. Le matin c’était levé il y à peu et il avait d’autre chose en tête. Et puis il n’était le seul à observer la scène, des dizaines d’autres c’était figés. Certain horrifier d’autre amusé… peut-être voulait-il voir du sang couler ? Les ordures. Lâchant un long bâillement il reprit sa route tranquillement. Les larmes de fatigue ayant gagnées ses yeux, il ne distinguait pas réellement sa direction et percuta bientôt quelqu’un. Le garde. Qui, surprit de l’impacte, s’étala au sol laissant au jeune voleur l’opportunité de s’enfuir. Une lueur de reconnaissance dans les yeux. Il n’était pas de ceux se contentant d’aider son prochain par pur altruisme, il aurait voulu le croire.
*oups j’ai recommencé…*
C’était ridicule. La façon dont il avait intervenu pour venir en aide à l’enfant était simplement ridicule. La façon dont il avait feinté l’inattention, dont il avait percuté, feinté l’excuse… Même le garde n’y avait pas cru un instant. Il avait dégainé sa lame et avait placé sa pointe sur le cou du nouvel arrivant. Et comme seul réaction celui-ci se contenta d’un sourire gêné. N’avait-il aucun moyen de se défendre ? Quelque risette ne le sauveront pas… il fallait qu’elle l’aide !
Inconsciemment, alors que ces yeux étaient focalisés sur la scène présente sous ces yeux. Elle faisait défiler les dessins contenu dans son carnet, elle n’avait pas le temps de dessiner quelque chose et même plus trop le temps maintenant. Cherchant une idée pour pouvoir aider ce jeune homme un peu trop abruti à première vu pour avoir agis de cette manière, mais comment lui en vouloir ? Elle était sur le point d’aider ce gamin en faisant apparaitre une femme qui se serait fait passer pour sa mère, mais maintenant elle se sentait obligé de changer de plan. Seulement qu’est-ce qu’elle allait bien pouvoir faire ? Elle devait créer une diversion, occuper le garde. Pour cela il lui fallait un individu discret pouvant se fondre dans la foule si besoin, afin que sa disparition ne paraisse pas étrange. Mais le garde disposait d’intention claire et comptait les exécuter immédiatement. Sa lame se rua en direction de la nuque de l’homme, l’intention étant de lui trancher, la plupart des spectateurs de purent retenir un cri. D’effrois ou d’excitation ? L’idiot aux cheveux blancs c’était déplacé au dernier moment, il était parvenu à sauver sa nuque. Mais la chance ne lui sourirait pas éternellement. Il devait pourtant encore tenir un peu. Mitsu se creuser sérieusement la cervelle pour trouver quel genre de diversion elle allait bien pouvoir produire. Pourtant c’était simple, elle pouvait faire apparaître l’un de ces personnages pour qu’il aille remplacer l’idiot dans le rôle du futur mort, mais elle savait ce que sa impliquerait si il reçoit une blessure. Pendant près d’une seconde elle s’immobilisa à la vue du spectacle.
Les coups du grade se faisaient plus nombreux et plus hargneux. Bien heureusement ils restaient brouillons et bien des mouvements étaient inutile. Sans conter que le flux d’énergie meurtrière que dégageait son épée était si net qu’il aurait pu l’esquiver les yeux fermés. Le style Ogame exploitait les articulations à leur maximum. Cela permettant des mouvements d’une qualité nettement supérieure à la moyenne, notamment en distance très rapproché, la difficulté à esquivé était nul. La silhouette de Johan devenant étrangement flou en certain moment, la lame du soldat frappait systématiquement le vide. Et cela continua pendant plusieurs minutes. L’idée de Johan était simple, fatigué le garde puis s’enfuir. Malheureusement, dans la vie la technique ne fait pas tout, et il ne disposait que d’une expérience minime en terrain inconnu. Une aspérité. Un simple creux. C’était si peu, si négligeable… Cela suffit pourtant à lui faire perdre son équilibre. Le garde n’avait rien d’un combattant chevronné, il n’était idiot pour autant, et devant la faiblesse évidente de son adversaire, en profita pour frapper. Le déséquilibre dans un combat se voyait souvent solder par la mort. Son père le lui avait souvent répété.
Le coup arrivait, se ruant sur son être, désirant de mordre sa chair. Il s’approchait, encore et toujours, assoiffé de sang.
Sa respiration calme et mesuré s’arrêta soudain. Alors que le la lame n’était plus qu’a quelques centimètres de sa nuque, la partie supérieur de son corps se brouilla. Comme une forme indistincte ce glissant sous la lame. Lorsque l’épée fut immobilisée, le garde faisait face au vide. Johan se tenait dans son dos, titubant contre un mur. Son visage n’exprimait que la gêne. Il avait un peu honte de c’être laisser allé à pareille extrémité. De plus la position dans laquelle il avait effectué sa technique ne lui avait permis de disposer d’appuie solide. En conséquence de quoi, il c’était blessé à une cheville. La suite promettait d’être difficile. Malgré l’action incompréhensible de Johan, le soldat pas découragé reparti bientôt à l’assaut. Ou du moins en avait l’intention.
La pierre n’était imposante, mais sa taille demeurait tout de même respectable. De quoi faire mal, quand prise en pleine tête. Déjà bien agacé par l’imbécile et ses mouvements incompréhensible, le soldat se retourna rouge de colère. Constatent que le lanceur ne se cachait en rien. Au contraire il s’affichait. Lui tirant la langue avec arrogance, il semblait âgé d’une dizaine d’année. Outré par ce comportement, le militaire en oublia l’individu qu’il voulait occire voila quelque seconde et se jeta sur l’enfant… qui c’était déjà mis à courir au milieu de la foule, emportant donc avec lui le garde. Elle y était parvenue juste à temps apparemment. Elle n’était pas sur d’avoir bien comprise les mouvements de l’idiot en blanc mais au fond elle s’en moquait, chacun avait ces propres capacités. Elle s’éloigna alors de la scène espérant que le gamin, qu’elle avait inventé en essayant d’imaginer à quoi pouvait bien ressembler son petit frère, s’en sorte indemne jusqu’à ce qu’elle le dématérialise. La foule elle aussi commençait à s’éloigné. Observé une rixe ou une exécution était chose facile, du moins quant la scène restait fixe. A présent de l’action se déplaçait, leur désire d’observation fut éclipsé et ils regagnèrent innocemment leur activité précédemment abandonné. Ils étaient vraiment pitoyables.
-Merci !
Une voix franche, légère, amusé. La voix de celui qui voila quelque seconde avait raté la mort de peu. Comment pouvait-il déjà avoir retrouvé son calme ? L’avait-t-il seulement perdu ? Quel étrange individu… et pourquoi la remerciait-il ? Comment pouvait-il avoir compris ? Comme s’il était parvenu à lire son interrogation muette, l’individu lui répondit avec le même ton calme et décalé.
-il avait ton air. Je parle du gamin qui m’a aidé. il n’est pas vraiment vrai n’est-ce pas ? Tu fais ça comment ?
Quoi il c’était basé sur une intuition ? Certes dans la précipitation, elle avait prit le seul dessin d’un enfant, qui lui ressemblait pour une bonne raison. Mais tout de même avec si peu d’indice… c’était anormale… avait-il une intuition hors du commun ?
Il ne s’était pas totalement montré sincère. A vrai dire il avait bien remarqué une ressemblance mais c’était Lilith qui lui avait annoncé que l’existence de l’enfant n’était tangible. Il était un peu comme un être éphémère. C’était bien elle ça ! Lui donné des fait sans une once d’explication ! La demoiselle ne semblait vouloir lui dévoiler sa technique mais il ne s’en formalisa pas. Quoi de plus normale que de vouloir garder ses petit secret ? D’autant plus que révéler ses facultés au premier venu était plus idiot qu’autre chose… Il l’attrapa par la main et la dirigea vers un endroit où il pourrait lui offrir un cadeau en remerciement de son aide.
-ça te dit de voler dans les cieux ? Je vais te présenté à un ami à moi !
En temps normale elle l’aurait certainement ignoré., s’esquivant de lui pour s’éloigner et rester de parfait inconnu. Usant de l’un de ces personnages si jamais il se serait montré trop insistant. Mais il se dégageait quelque chose de trop… authentique chez lui. Elle se contenta donc juste d’une phrase, se laissant trainer aux grés de ses envies.
-Je n’ai pas l’âge …
-Tu a quel âge ?
-…17 ans
-à ton âge j’avais construit mon propre rider et je volait déjà comme un forcené un peu partout ! Et puis 17 ans c’est l’âge ou l’on se moque bien des interdictions ! non ?
Un regard étonné. Un sourire amusé. C’était un jour de vent Un jour de vol Une rencontre
Ainsi fut sa rencontre avec Mitsu Manade ~ ~ Boire pour oublié ? boire pour se désaltéré. Garde trop sur d'eux, chute, parole, rencontre.
Spoiler:
Parmi les multiples guignettes d’Anthalys, il avait fallut qu’il tombe dans la seul disposant d’une cliente des plus douteuse… S’il avait été superstitieux il aurait pu se croire maudit. Mais dans le malheur, des choses plus noble et douce peuvent arrivée.
~Si l’idiot se croie malchanceux, alors nul doute qu’il le sera.~
Ce débit de boisson n’était désagréable de part son décor. Des plus rustique, il s’en dégageait une atmosphère agréable et aidant à se sentir comme chez sois. Le problème ne se situait pas non plus au niveau du nombre certain d’individu disposant présentement d’un taux de sang dans l’alcool plus que minime. Ces derniers se trouvant simplement dans l’incapacité d’aligner plus de deux mots, il était plus qu’ardu de laisser la conversation tourné à l’agression, puisque toute discutions avec eux se montrait simplement impossible. Le véritable problème provenait des soldats de l’empire. Sensé se montrer comme un gage de sécurité et de bienséance, les trois individus présent semblait l’avoir oublié. A dire vrai, Johan s’en manquait éperdument, il n’était de ceux que l’on pouvait agacer aussi facilement, et il se contentait de se sustenter ignorant avec brio les jérémiades incessante des gardes. Il n’en allait pas de même envers la demoiselle qu’ils venaient d’aborder avec un tact des plus éléphantesques. La dite demoiselle qui, certes sublime, semblait disposer d’une envie certaine de trancher les trois crétins (puisqu’il fallait les biens définir au minimum comme répondant à ce critère).
Ordures. C’était le mot le plus approprié pour désigner les trois porcs qui venait de l’aborder. Trois ordures, répugnante, puante et dépourvu dune once de fierté. Elle haïssait l’empire a un point que même elle n’était sur de cerné, et se retenir de trancher ses trois… insectes se voyais une épreuve trop éprouvante à son goût. Faire usage de son Don ? Jamais ! Par envers ses résidus informes, ne valant guère mieux que des organismes monocellulaires primaires. Elle allait leur laissait dix secondes. Qu’ils déblatèrent leurs immondices ! Après quoi, s’il n’avait toujours pas abandonné, malgré son silence persistant et sa flagrante intention de les ignorer, elle les trancherait. Personne ne les regretterais, tous dans cette taverne ne se taisait que par lâcheté, sauf peut-être l’étrange type aux cheveux blanc… lui semblait simplement s’en foutre au possible. Ce n’était pas lui qu’ils étaient venu enquiquiner ! Ne pouvait-il pas avoir la décence de se sentir navré ? non non ! Monsieur mangeait sans se préoccuper aucunement de ce qu’il l’entourait, comme dans sa petite bulle. Agaçant ! Les dix secondes s’écoulaient à une lenteur presque déprimante, et les trois mollusques ne semblaient tarir d’inepties toute plus grossières les une que les autres… Tentative désespéré pour les ignorer, elle décomptait les secondes qu’ils restaient de leur misérable existence : plus que 4…3…2…1 Sa main glissa d’une façon imperceptible sur un manche. A l’extrémité de celui-ci résidait la lame de son arme : la promesse d’une mort certaine… Les trois hommes s’effondrèrent, mais elle n’avait rien eu le temps de faire.
~Si l’idiot se croit chanceux, alors il le deviendra certainement~
Il l’avait remarqué, l’éclat assassin qu’elle avait dans le regard. Cette haine farouche envers ceux de l’empire. A elle aussi il lui avait fait du mal, c’était une certitude. Peut-être plus qu’à lui, sans doute même, mais qui était-t-il pour juger de la souffrance des autres ? Tout ce qu’il avait vu c’était une femme sur le point de tuer. Un regard de glace, une intention : si parfaitement maitrisé qu’elle allait épouser ses membres, les mouvoir et en faire une action. Pour cette raison, il avait du intervenir. Malgré le soupir agacé de Lilith, il c’était tranquillement rapproché et s’était permis une frappe nette dans la nuque des trois individus. Non ce n’est pas une rumeur, l’action est bel et bien efficace. La nuque est un centre nerveux capital, une frappe suffisamment contrôlé peu mettre instantanément K.O. voir pire. Une frappe mal maitrise peu tuer ou paralysé la cible à vie. Bien heureusement les trois lurons avait fait office de cible facile, le coup avait donc été précis et rapide. A la vue des trois individus s’écroulant comme des masses, un certain silence se fit, pourtant personne dans la salle ne fit la moindre remarque. Avec la quantité qu’ils avaient buent la véritable surprise était qu’il parvenait encore à tenir debout. Ainsi donc les bavardages reprirent bien vite laissant a Johan le privilège de se présenté a la demoiselle… et par la même tenté de conserver sa tête sur ses épaules…
Pour qui se prenait-il ? Voila quelques secondes encore elle aurait juré qu’il se fichait totalement de la situation et maintenant ce permettait une apparition des plus prétentieuse ! Et bien quoi ? Sans doute s’imaginait-il lui avoir rendu un quelconque service. Et puis quoi encore ?! Elle n’était pas le genre de femme à conter sur autrui, encore moins sur un homme ! Pourtant, passant outre sa colère et sa haine, un sentiment lui soufflait qu’il ne lui avait rendu service pour des raisons aussi futile que celle de faire bonne impression. Quelque chose lui soufflait que cet homme était plus dangereux qu’il voulait bien le laissé paraitre. Son regard simplet en parfaite contradiction avec ses effet pour le moins sophistiqué et parfaitement adapté au affrontement ne firent que renforcé ses soupçons. Contournant la table et les trois individus avachis sur celle-ci, il s’approcha de la demoiselle, et se penchant vers elle, se permit une phrase au creux de son oreille. Rien de plus qu’un murmure, un souffle.
-A l’arrière.
Qu’y avait-il à comprendre ? Sans vraiment savoir pourquoi elle le savait. Et cela l’énervait au plus haut point. Elle n’aimait vraiment pas cet homme et ses manières aussi désinvoltes que négligé. Se petit sourire naïf qu’il affichait avait le don de la mettre hors d’elle ! Et elle ne comprenait pas vraiment pourquoi…
Elle ne l’aimait pas. Et à vrai dire cela ne le surprenait pas outre mesure. Elle qui éprouvait une haine sans nom envers l’empire, elle qui avait une soif de sang tel qu’il l’avait ressentie, sauver par l’idiot simplet qu’il était. Il se contenta donc de deux mots. « A l’arrière » la ou il l’attendait, La ou ils parleraient. Mais parler de quoi ? Pourquoi parler ? Simplement en raison de leur aversion commune. L’empire.
Isolé, personne ne pouvait grand-chose contre tout un état. Johan n’était pas plus dirigé par sa colère que par sa curiosité. Comprendre. Lyshaa, désirait une vengeance, violente et sanglante. L’empire était le mal, le mal devait être éradiqué. Justice.
C’est ainsi qu’ils se rencontrèrent.
Ainsi fut sa rencontre avec Lyshaa Surain ~
Les angles.
Ils n’on pas tant valeur de début que de fin. Elles sont les pièces délimitant sont monde. Comme des repères des appuies. S’il fallait désigner un sentiment à l’égard de ses liens, se serait avant tout la confiance. Mais n’allez pas chercher de logique dans sa confiance. Il la confie avec une aisance des plus démentes. Ne soyer donc surpris si d’aventure vous veniez à faire partie de l’un de ses quatre angles.
Les bordures.
Plus nombreuse que les angles, elles n’en sont pour autant laissé pour compte. Elles encadrent son existence, mais d’une façon particulière. Elles sont l’horizon de son existence. Représente des liens singuliers et peu commun. Certes pour Johan les liens commun son chose rare, mais en ce cas nous parlons de situation parfaitement unique. Le sentiment définissant au mieux ses liens ? La curiosité.
~ Rencontre étrange, sous une Lune aussi blanche qu'un sourire. Des insultes, une remarque, un cri, une fuite, un rire.
Spoiler:
La Lune est une chose irritante. Belle, mystérieuse et fascinante, mais terriblement irritante. Qu’importe les efforts qu’il avait pu faire pour tenter de l’atteindre, jamais il n’avait pu s’en approcher. Et pourtant parfois, elle semblait si proche, comme si tendre la main suffisait pour se l’approprier. Mais dans ses moment l’illusion se brise quant la main se referme dans un vide aussi pesant qu’implacable. Ce bel astre à beau être visible de tous, il n’appartient à personne. Cette bâtisse était aussi immense qu’imposante, effleuré par la lueur blafarde de la lune, il était presque impossible de distingué la forme s’amusant à l’escalader. Pourquoi Johan grimpait-il sur cette villa ? Pour une raison aussi simple qu’idiote… le bâtiment était haut, permettait une bonne vue du périmètre et Johan s’était lamentablement égaré dans les ruelles enchevêtré d’Antalys. Il décida donc de se rendre en direction du bâtiment le plus haut qu’il avait en vue de l’escalader et de s’en servir comme point de vue. L’idée avait de quoi défriser les individus intègres et maniéré des environs, mais Johan n’était ni l’un ni l’autre, et sa façon de penser lui convenait parfaitement. L’escalade n’était pas son sport de prédilection, mais cette résidence disposait d’un style architectural simplement merveilleux pour celui désirant s’y hisser… bien sur dans l’instant Johan ne saisi pas l’idée qu’il était le seul dans la région a avoir jamais eu cet intention… stupide il fallait bien le dire. La forme qu’était la sienne évoluait aussi silencieusement qu’efficacement. Ses formes mise en valeur par l’éclairage lunaire lui donnaient un aspect plus bestial qu’humain et quiconque l’aurait aperçu en l’instant aurait sans doute éprouvé une crainte certaine. Qui pouvait bien imaginer qu’il ne s’agissait d’un monstre mais simplement d’un individu, trop naïf et inconscient pour cerner la portée, parfois aberrante, de ses actes systématiquement irréfléchis ? Une nouvelle épreuve s’offrit bientôt à lui, un balcon. La surface parfaitement verticale pour peu qu’elle dispose de prise convenable n’était un problème, mais les horizontales… Certe si l’on se trouve au dessus de celle-ci l’acte et simple, il suffit de mettre un pied devant l’autre, mais quant l’on est en dessous… l’effort et harassant. Il fallait être prêt a conservé une force constante dans ses doigt pour supporté la totalité de son poids, et même avec de bonne prise cela n’était aisée… et il n’y avait pas de bonne prise ! La solution ? Sauter ! Se propulser de façon à pouvoir se rattraper sur l’extrémité du balcon pour ensuite s’y hisser avec vitesse et précision. Ce qu’il fit. Malheureusement, il arriva ce que l’on pourrait nommer « pépin ». Notre ami se rendit alors compte qu’il aurait peut-être put prendre quelques secondes de plus pour envisager la présence d’une demoiselle sur le balcon.
Les cieux étaient sublimes en cette nuit de pleine lune. Comme pour accompagné cette dernière, la voute céleste c’était paré de ses plus beau diamant. C’était un ciel si brillant, qu’Anastasia venait à s’en demander comment la nuit pouvait bien subsister, entouré par tant de lumière. Perdu dans sa contemplation, la demoiselle aurait pu oublier le temps qui s’égrenait. Ce qu’elle avait d’ailleurs fait. Ce n’était sans doute bien sérieux de sa part. Rester ainsi à une telle heure, mais elle s’en moquait, a un point inimaginable. Mais bientôt le temps retrouva son court, et les rêveries cessèrent. Car au milieu du silence confortable de cette nuit de pleine lune, un souffle s’approchait. Elle n’était pas sur de bien cerner sa provenance, mais il était proche. Trop proche. Elle n’avait pas peur, elle n’aimait simplement cela. La nuit était son refuge son trésor, qui pouvait bien la déranger a une pareille heure ? Bientôt elle comprit que le souffle, discret et régulier, provenait d’en dessous. En dessous ? Mais elle était sur son balcon voyons comment était-ce possible ? S’approchant du bord puis s’y penchant, elle pu alors contempler un homme. Jeune, son âge peut-être un peu plus, et un visage plutôt bien fait… visage un peu trop près à son goût.
Une scène pour le moins comique. Un homme venait de sauté, et une femme l’attendait à l’arrivé. Ni l’un ni l’autre de comprirent vraiment le comment, pas plus que le pourquoi. L’homme tomba. Sur la femme. Leurs lèvres s’effleurèrent Les deux s’étalèrent sur le sol. Tout deux furent aussi confus l’un que l’autre.
Qui était-il et d’où venait-il ? Se furent les deux questions qu’elle ne se posa pas. à dire vrai elle s’en moquait. En l’instant elle était d’avantage préoccupé par ce qui avait un peu trop ressemblé à un baisé. Quant elle retrouva à nouveau ses esprit, elle remarqua que l’homme étalé sur elle était lourd, et que l’une de ses mains ne semblait connaitre le sens du mot « délicatesse ». Puisque se trouvant sur l’un de ses seins La sienne fusa donc. Vers la joue du jeune homme. Un prêté pour un rendu comme ils disent.
Cela n’était qu’un aperçu (vraiment vraiment raccourcis) de la sommité d’insulte qu’elle eu la gentillesse de lui offrir. Hurlant un peu plus fort a chaque nouvelle parole fleurie, elle l’avait forcé a se levé par la seul intonation de sa voie. Et n’en étant d’ailleurs satisfaite, semblait l’acculé chaque seconde un peu plus contre le bord de balcon… allait-il redescendre ? D’une façon plus brusque et moins plaisante qu’a la monter de plus. Lorsqu’il fut dos au mur (enfin au balcon pour le coup) elle ne cessa ses insultes mais lui permit de rester sur le balcon stoppant son avancé. Ne sachant vraiment que faire, il s’assit finalement sur le bord et fixa l’a demoiselle. D’un regard mêlant curiosité et intérêt mais n’ayant la décence d’affiché du pardon. Et attendait poliment la fin des remarques, moins poli, de la demoiselle. Elle s’épuisa finalement, bien que gardant une couleur rouge. De colère ou de honte ? Il n’en savait rien et à vrai dire il n’était vraiment sur de son teint, la nuit ne laissait pas aux couleurs le luxe de s’exprimer pleinement.
-Je suis vraiment surpris de constater la somme astronomique d’injure dont tu dispose !
Il ne se moquait pas d’elle, il était vraiment impressionné par la demoiselle, et il devait l’avoué elle attisait sa curiosité… que faisait-elle a pareille heurs de la nuit ?
Quoi c’était tout ? Pas d’excuse, aucune tentative pour s’amender, pas une once de galanterie ? Il ne s’était même pas présenté !!! Mais bon sang que faisait-t-il dehors a une heure pareille sur SON BALCON A ELLE !!! Se souvenant de la tenue dans laquelle elle se trouvait, elle étira alors maladroitement sa chemise de nuit, soudain bien trop courte, vérifiant que l’individu n’en profite pour s’en rincer l’œil. Il ne l’avait même pas remarquait et fixait la lune avec une expression insondable.
Lorsqu’il recentra son attention sur la demoiselle, elle tirait sur le morceau de tissu lui servant de vêtement avec acharnement pour couvrir un peu plus de son être. Avait-elle froid ? Elle aurait beau tirer aussi fort qu’elle voudrait, la quantité de tissu ne changerai pas, l’effort serai vain et au pire des cas elles se retrouveraient avec deux chemise de nuit au lieu d’une. Ôtant négligemment la veste qu’il possédait, il se permit de lui lancer au visage. Non pas mépris mais par simple amusement. Si elle avait froid il suffisait de le dire, lui n’avait jamais craint le souffle du vent.
Sa façon d’être était agaçante. La désinvolture avec laquelle il lui avait cédé sa veste, la vitesse à laquelle son regard passait de simplicité à mélancolie… qui était-il bon sang ! Et pourquoi ne lui demandait-il pas qui elle était ? La question lui brulait les lèvres, mais elle n’eu le temps de la poser.
-Ne trouve tu pas que la lune est agaçante ? Parfois j’ai l’impression qu’elle nous toise… nous fixant du haut de son refuge elle reste désespérément hors d’atteinte, nous lorgnant avec mépris… et pourtant elle semble avoir tellement envie de compagnie. Parfois elle nous sourie parfois elle nous fuit… elle semble si humaine… n’a tu jamais voulu l’étreindre… ?
Sa main était tendue, son doigt écarté laissait filtrer la lumière sur son visage. Ses traits étaient figés dans une expression insondable. Qui était-il ? Sans vraiment comprendre pourquoi elle désirait le savoir .Puis soudainement, son regard retrouva de son éclat originel, et il reporta ses yeux vers la demoiselle, comme gêné de s’être montré ainsi. Et alors que ses lèvres dessinèrent les prémices d’une phrase. Comme le prélude d’une amitié. Une voie déchira la nuit.
-TU EST QUI TOI ?!!
Bien sur un garde… ha non… ils étaient cinq en faite. Pourquoi n’avait-il pas fuit à l’instant même ou la demoiselle avait hurlé ? bien sur que cela avait attiré les gardes, l’inverse aurait était étonnant. Il aurait pourtant aimé discuté d’avantage, toutefois l’envie n’aurait sans doute pas été partagé. Après un soupire résigné, il lâcha un petit sourire à l’attention de la demoiselle sans nom et fuit. Amusant !
Elle n’avait finalement pas pu savoir qui il était. Il avait fuit. Sauté puis s’était accroché avant d’escaladé de plus belle jusqu’au toit du manoir. Il avait disparu, et la dernière chose qu’elle avait aperçu de lui, c’était sa silhouette cerné par une lune rutilante. Il lui avait laissé une veste et volé un baisé… Agaçant !
Un homme courant le long des toits souriait à la lune. Une femme admirant les cieux souriait à la lune. Elle était belle, mystérieuse et fascinante. Comme une rencontre.
Ainsi fut sa rencontre avec Anastasia Anaké. ~
Yuna Natsume
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Sujet: Re: Puzzle d'une vie. Fondation d'un monde~ Liens Lun 8 Fév - 14:01
Hyuu ... Ton perso me plait bien, j'aimerai bien avoir un p'tit lien , ou en grand XD avec quel qu'il soit. Amitié, connaissance ou quelque chose de plus spécifique mais pas ennemis. Du moins, Yuna ne considère personne comme ennemi.
Jun K. Kobayashi
— Kyan.
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Sujet: Re: Puzzle d'une vie. Fondation d'un monde~ Liens Jeu 11 Fév - 12:25
Une touche de conformisme dans toute cette poésie, ça ne peut pas faire de mal. Comme tu fais officiellement parti de la D.R.U.G. (mes félicitations) je pense qu'un lien est de mise entre toi et moi.
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Sujet: Re: Puzzle d'une vie. Fondation d'un monde~ Liens
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