Un peu de repos. [Totalement libre!]

Enfin! Un peu de repos. Abban avait attendu plusieurs semaines ce jour, afin de s'occuper un peu plus de ses enfants. Il ne les avait pas trop vu ces derniers-temps, et il allait profiter de ce jour de repos afin de leur faire découvrir le monde extérieur. Pendant des heures, il réfléchit où emmener ses progénitures, et décida à la fin de leur faire découvrir les jardins suspendus, un endroit qui leur restera gravé dans leur mémoire pendant longtemps.

Après plusieurs heures de marche, le commandant arriva avec Eireen et Jazekael, deux bouts de choux de deux ans, aux jardins suspendus dans le quartier Aristocratique. Les enfants, en découvrant le lieu, avaient des yeux pleines d'étincelles. Ils étaient émerveillés par les arbres et les autres végétaux. Heureusement pour eux, il y avaient des barrières, les empêchant de tomber. Leur père les lâcha et les regarda humer le parfum des fleurs. Abban sourit en les voyant s'amuser comme des petits fous. Le jeune commandant les suivait, observé par quelques personnes qui se trouvaient là. Est-ce qu'ils avaient découvert qu'il faisait parti de l'Empire -faut dire aussi, vu ses vêtements, qui seraient assez bête pour ne pas deviner qu'il fait parti de l'armée de l'Empire- ou bien trouvaient-ils simplement mignon? En tout cas, Abban ne fit pas attention à ces inconnus. Peut-être étaient-ils simplement jaloux qu'il ait une bonne situation de famille, même si sa femme avait disparut.

Jazekael et Eireen ne marchaient pas trop vite et de plus, ils ne savaient dire que des mots. Mais bon, ils se débrouillaient quand même pas mal pour pouvoir communiquer avec les adultes et les autres enfants de leur entourage. Mais bon, les deux jumeaux vinrent vers leur père qui se mit à genoux pour leur caresser leur cheveux.

"Allez jouer un peu, profitez qu'il fasse beau et..."
-Papa, ze t'aime.

S'était Jazekael qui venait tout juste de dire ça. Abban crût qu'il allait fondre comme un glaçon. Mais bon, ému parce que venait de dire son fils et heureux qu'il sache dire au moins une phrase, il s'apprêtait à répondre quand Eireen lui coupa la parole:

"Mais non! C'est moi qui aime papa! Et c'est pas toi qui aime mon papa!"

Alors là, il allait vraiment fondre. Il allait prendre ses enfants dans ses bras, quand les deux petits filous se mirent à courir après l'autre, sûrement pour se disputer. Malheureusement, ils se cognèrent contre les jambes de quelqu'un avant de tomber. Le commandant réagit aussitôt à ça; il rejoignit ses enfants avant de les prendre dans ses bras et regarder l'inconnu dans les yeux avant de lui dire:

"Désolé, veuillez les pardonner."

[HJ: Le "Ze" est mit exprès pour montrer la façon dont Jazekael dit à son père qu'il l'aime^^]

Un peu de repos. [Totalement libre!] CBwindow

En cette belle après-midi ensoleillé les rues étaient pleine de bons samaritains joyeux. Je mis plongeais n'y passant pas vraiment inaperçue, bien que je sois de petite taille, mes habits étant très coloré ne me facilitais pas la tache. C'est vraie que personne ne passerait inaperçue avec une longue robe blanche et bleue qui volais au gré du vent. Mais cela m'importais peu, je n'étais pas là pour une filature. C'est donc d'une allure soutenue que je me dirigeais vers l'un des endroit les plus beaux d'anthalys; les jardins suspendus. Mes cheveux volant avec la brise me donnait une impression de liberté infini. Je me sentais si bien. Mes parents c'étant absenté pour la journée j'en avait profité pour filer, une fois de plus, en douce du foyer familial. Je n'habitais pas particulièrement loin des grand jardins suspendus, mais n'étais pas a côté pour autant. Il est vrai qu'une jeune fille de mon âge et de mon grade se serais facilement retrouvés essoufflé, mais mes soirées passer a courir dehors - sans autorisation parentale - m'avait forgé à ce sport qu'était la marche. A peine arrivé a la lisière des arbres des jardins suspendus, je me rendis soudain compte de leurs immensité et de leurs beauté. Tout cela était si beau. Je m'attendais cependant a voir plus de monde que cela. Hors nous étions qu'une poignée de citoyen. Pour tout vous dire, cela me réjouissais. J'apprécierais plus la beauté dés lieux sans les jacassement qui me servais de font sonore vingt-quatre heure sur vingt-quatre. M'éloignant un peu plus sur la pelouse verdoyante je me mis a contemplé la nature environnante. De grande barrière servait de sécurité pour tout les inconscient qui aurais l'idée de s'approcher de trop près le vide dans le quel était les jardins. Bien-sur cela n'avait pas été crée au hasard. Si c'était là c'était bien qu'il y avait des inconscients assez bête pour se penché tête vers le vide. Personellement je gardais une certaine distance avec ces barrières, non que je sois pas une personne emprunt du vertige, nous ne pouvions pas faire confiance a ces petits bous de féralle qui ne tenais pas très longtemps. Cela dit, j'avais une sainte horreurs du faite de me faire porté. Pourquoi ? Je n'en sais foutrement rien. C'est donc en marchant aux côté d'une allée de rosier que je pus sentir deux petites, mais lourdes, chose foncé de plein fouet dans mes pauvre tibias. Ceci meurtris cédèrent sous mon poids, et c'est comme cela que je me retrouvis à genoux dans la pelouse tout fraiche. Je faillis sortir une réplique sanglante, mais ne pus que me retenir quand je vis les deux petits boues de choux qui se tenaient affalés par terre de tous leurs long. Un sentiment de frustration mêlé a de la compassion m'envahis.

"- Désolé, veuillez les pardonner. me lança une voix qui m'était inconnue et masculine. Je m'appétais a m'excuser quand mon regard s'arrêta sur la tenue de mon interlocuteur. Un soldat ! Je crue que ma mâchoire allait se détaché, mais je finis par me reprendre et faire preuve du peu de gentillesse qui m'habitais pour lui répondre.
- Aucun problème, il y a us plus de peur que de mal. Je venais de m'exprimer dans un couinement égues. "

C'est les dents serrés que je me relevais. Comment je ne pouvait pas supporter la vue de ces chiens de la royauté. Surtout quand ceci me regardais avec gentillesse et tendresse ! Je ne me rendis pas compte que mon mouchoir finement brodé de mes initiales était tombé a terre a cause de la chute. Je tapotais ma robe du plat de mes mains, essayant de retirer les petits plis, puis proposa une main a la petite fille pour l'aidé a se relever. Ils était si mignon, il m'attendrissaient vraiment. Mais leurs père - si j'en croyais a ses habitudes maternelles - me créais une profonde haine en moi. D'un tique je passait ma main gauche dans les cheveux, les fessant volés. Malgré le fait que l'homme qui se tenait devant moi était l'une des personne que je prenais comme mes ennemis, je devais quand même sauvegarder ma couverture. C'est a dire mes airs de gentilles jeune fille de bonne famille. Cela commençais sérieusement a me soulé.

Invité

Zack arriva dans la ville d'Anthalys, un quartier Aristocratique. En marchant tout droit vers lui il debarqua dans les jardins suspendu. C'était plus vraie que nature... Le jeune Soldat Zack marcha le long des jardins en voyants hommes, femmes & enfants heureux d'être içi. Des enfants venait vers lui en lui demandant: -Jazekael ! Jazekael vien voir il y a un soldat dans la ville !!! Zack regarda les enfants en souriant, il trouva sa drole. Les enfants devant Zack, le questionna: Sa fait longtemp que vous ete soldat ? Est-ce amusant ? Zack repondit a l'enfant:

Et bien sa fait Une Cinquaine d'années que je suis membre du Soldat ! Oh.. Si c'est amusant, et bien oui et non. Tu peut etre déçu de devoir apprendre certaine chose qui sont dure a faire comme vaincre ton meilleur amis.Il repensa a son amis Angeal celui qui lui a tent rendu service et aider a devenir membre du soldat... Bon je vais y allais a bientôt les enfants...

Zack continua a trassé sa route, tout le monde lui jeta un regard méfiant se qui l'inquieta, de plus il était le seul soldat, enfin pour l'instant... Il vit des enfants courire partout quand tout un coup ils percutèrent une jeune fille celle si se fit faucher tomba au sol.. La jeune fille frustré allit crier après les enfants un homme alla la voir et dit:

Désolé, veuillez les pardonner... Elle repondit a l'homme plus agée que Zack d'une voix douce et paisible: Aucun problème? Il y a us plus de peur que de mal. La jeune fille se releva, Zack passa au meme moment il trouva un mouchoir qui appartenaitba la jeune fille il alla raportait le mouchoir:

Euh excusez moi c'est a toi je suppose tien reprend le. Zack donna le mouchoir et lui souria: Et au faite moi c'est Zack ! Euh enfin vous vou en fichez mais bon comme je suis nouveau sa me fait plaisir de parler a quelqu'un... Il regarda la jeune fille et le jeune homme en attendant une reponse...

La jeune fille était par terre dans l'herbe, et elle dit avant de se relever que ce n'était rien, qu'il y avait eût plus de peur que de mal. Abban aurait bien voulut l'aider à se relever, mais la jeune demoiselle se releva toute seule, faisant tomber sans le vouloir un mouchoir. Tout les deux n'avaient pas remarqué ceci. Le commandant se demandait comment quelqu'un pouvait tomber à cause deux enfants de moins de soixante centimètres. Peut-être que l'inconnue avait des jambes fragiles. Il avait remarqué que cette dernière avait comme les dents serrés, peut-être dégageait-il une mauvaise aura. Il allait encore s'excuser quand un jeune homme arriva et donna à la jeune demoiselle avec un mouchoir où étaient brodés un N et un M. Sûrement ses initiales. Abban allait partir, mais malheureusement, l'inconnu se présenta:

"Et en fait, moi, c'est Zack! Euh enfin vous vous en fichez mais bon comme je suis nouveau ça me fait plaisir de parler à quelqu'un... "

Le commandant posa ses enfants à terre avant de se mettre à leur hauteur.

"Allez-y, vous pouvez aller jouer, mais faite attention, et ne vous vous approchez pas trop des barrières."

Jazekael et Eireen hochèrent de la tête avant de partir en courant afin de jouer au chat et à la souris. Leur père les regarda s'éloigner un peu avant de se tourner vers les deux jeunes gens qui allaient lui faire un peu de compagnie. A l'instant même où les enfants étaient parti, il avait changer d'expression. Il ne semblait plus être le gentil papa tout gentil en compagnie de ses enfants, mais il était à présent très froid, très méfiant et pas du tout souriant. Il semblait être aussi dur que du roc. Abban répondit en regardant d'un air glacial le dénommé Zack:

"Enchanté Zack. Puisque vous vous êtes présenter, je suis dans l'obligation de faire de même, même si je n'en n'ai pas trop envie."

Il ne savait pas quelle allait être la réaction à ces deux jeunes-gens. Il faut dire que son nom était un peu connu puisqu'il était le commandant en chef de l'armée de l'Empire. Certaines personnes qui étaient dans le coin l'observaient de l'œil, allaient-ils entendre son nom? Sûrement, mais il s'en fichait un peu. Si ils voulaient l'attaquer, qu'ils viennent! Fenrir n'en fera qu'une bouchée d'eux!

"Je m'appelle Lenaic. Abban Lenaic. Je suis le commandant en chef de l'armée de l'Empire. Et bienvenue ici mon cher Zack...."

Il aurait put dire "enchanté de vous connaître" à la fin, mais cela aurait été un mensonge. Il regarda ensuite la jeune fille qui avait été percutée par ses enfants. Elle semblait tout-à-l'heure être un peu crispée, surtout au niveau de la mâchoire. Comme on dit, "les gestes trahissent nos pensées". Etait-ce une rebelle? Un membre de la Rebellion? En tout cas, si en entendant son identité elle se crispait encore plus, elle devait certainement en être une. On entendit quelques chuchotements. Abban regarda les alentours du coin de l'œil. Et oui, certaines personnes l'avaient entendu. C'était vrai que l'Empire n'avait pas une très bonne réputation. Mais bon, il se tourna vers ses enfants occupés à cueillir des fleurs avant de leur ordonner de ne pas trop s'éloigner de lui. Et si plus de la moitié des gens étaient des rebelles? Il fallait bien faire attention alors. Ils pouvaient très bien l'achever ou bien enlever un de ses progénitures, comme un des leurs avait enlever sa femme. Mais bon, quand la Rebellion attaque, l'Empire contre-attaque! Le commandant se tourna ensuite vers la jeune inconnue avant de lui prendre la main et de faire une bise-main à la jeune demoiselle.

"Mademoiselle, si jamais vous ayez une jambe cassée à cause de mes enfants et que vous deviez vous faire soigner, n'hésitez pas à envoyer vos médecins me chercher en leur donnant mon nom pour que je paie les dégâts. Mais quand même, puis-je savoir votre précieux nom afin que je sache à qui j'ai affaire?"

La petite pris la main que je lui offrait et se releva en passant elle aussi, les plat de ses mains sur la robe. Elle était vraiment mignonne, mon vraie reflet en plus jeune. Je lui décochais un sourire radieux qu'elle me rendis avant de s'éloigner en compagnie de son frère. Leur père leur donna quelques explications avant de les laisser s'éloigner. Soudain un jeune homme me tendis un mouchoir qui me paraissais familier.

" - Euh excusez moi c'est a toi je suppose tien reprend le.

En effet ce mouchoir m'appartenais. Les initiales N. M. y était brodés. J'y tenais énormément et je le remerciais d'un geste de tête avant de le détaillé. Et là, le choc ! Il s'avérât être un solda. Les dieux n'était pas avec moi aujourd'hui. Là une question vint se pausé. Pourquoi les deux hommes qui se tenaient en ma compagnie n'avaient pas les même uniforme ? Je ne mis connaissais pas assez pour trouver de moi même la réponse. C'est la que le jeune homme qui m'avait sourit se présenta :

" - Et en fait, moi, c'est Zack! Euh enfin vous vous en fichez mais bon comme je suis nouveau ça me fait plaisir de parler à quelqu'un. Il m'avait l'air bien dans sa peau, et gentil qui plus ai.
- Enchanté Zack. Puisque vous vous êtes présenter, je suis dans l'obligation de faire de même, même si je n'en n'ai pas trop envie. Il était devenu froid. A en faire peur aux petit bous qui c'était éloigner. C'est sur le même ton qu'il continuât. Je m'appelle Lenaic. Abban Lenaic. Je suis le commandant en chef de l'armée de l'Empire. Et bienvenue ici mon cher Zack. "

Il n'avait pas l'air enchanté plus que sa. La phrase de l'homme me repassa en tête. " Je m'appelle Lenaic. Abban Lenaic " Lénaic ? Cela me rappelais quelques chose, mais quoi ? Et là, la fin de sa phrase me toucha de plein fouet. " Je suis le commandant en chef de l'armée de l'Empire. " Le commandent en chef de l'armée, rien que sa ? Mais que-ce-que je foutais là, avec eux, bon sang ! Je pus sentir le regard détaillant et pesant d'us commandant sur moi, et ne voulant pas me dévoiler au grand jour je me décoinça la mâchoire avant de le regarder froidement. Me répétant cette phrase dans la tête : C'est quoi ces manières de regarder une jeune fille de mon grade ? Oui oui, je ne la pensais pas vraiment. Mais si le commandant pouvait lire en moi comme dans un journal ouvert, autant utilisé ma technique favorite. La manipulation, pur et simple. J'étais sur le point de répondre quelque chose dans le genre du " excusez moi, mais vos manière me mettes mal a l'ais " mais le commandant se rapprochât de moi et me baisât la main. J'ouvris de grands yeux écarquillés avant de lui faire un signe d'exquisment de la tête, qui m'étais plus destiner qu'à lui.

" - Mademoiselle, si jamais vous ayez une jambe cassée à cause de mes enfants et que vous deviez vous faire soigner, n'hésitez pas à envoyer vos médecins me chercher en leur donnant mon nom pour que je paie les dégâts. Mais quand même, puis-je savoir votre précieux nom afin que je sache à qui j'ai affaire? Me lançât-il."

Ho, il jouait avec mes bonnes manières ? Il devait avoir des doutes mais manipulatrice que j'étais, je n'avais aucunement l'intention de baisser les bras face a lui. Et ma garde envers les personnes ici présentes, doubla de volume. Il voulais que je lui réponde ? Il allait être servis. C'est l'air contrariée que je me décidait a lui répondre.

" - Je me nomme Anise - Nessie - April, Myracle. Et je ne crois pas mettre cassée quoique ce soit. Voulez vous plus de renseignement Messieurs Lenaic ? Je serais ravie de vous éclairé. "

J'avais prononcé son nom en appuyant bien sur les syllabes, il fallait bien l'avouer je venait très clairement le défier. Le sortant de ses retranchement, et cela m'amusais autant qu'une gamine jouant avec sa poupée de porcelaine. Qui aurais fait mieux que cela ? Jeune fille de bonne famille, voila ce qu'il devait surement pensé. Il est vraie que j'avais des allures de jeune fille fragile, mais si il savait qu'elle aquelète j'étais. C'est avec ces dernier mots que tout ce jouais. Qu'allait faire ce "commandant" ? M'arrêter a cause de mon caractère et devant un si grand public ? Qui sait.

Invité

Apres avoir donner le mouchoir il entendit l'homme annoncer :"Enchanté Zack. Puisque vous vous êtes présenter, je suis dans l'obligation de faire de même, même si je n'en n'ai pas trop envie." A ce moment l'homme fixa Zack et repliqua : "Je m'appelle Lenaic. Abban Lenaic. Je suis le commandant en chef de l'armée de l'Empire. Et bienvenue ici mon cher Zack...." Le commandant chefde l'empire ! Zack n'allait pas dire qu'il était soralyens sinon il ne sera pas se que Abban vas lui faire surtout qu'il est tout seul dans sa ville personne ne pourra l'aider...Il ajouta a la jeune fille :

"Mademoiselle, si jamais vous ayez une jambe cassée à cause de mes enfants et que vous deviez vous faire soigner, n'hésitez pas à envoyer vos médecins me chercher en leur donnant mon nom pour que je paie les dégâts. Mais quand même, puis-je savoir votre précieux nom afin que je sache à qui j'ai affaire?"

La jeune fille regarda Abban et lui dit d'un ton sévère comme si elle ne voulait pas montrer qu'elle était plus faible que lui : " - Je me nomme Nessie - Anise - April, Myracle. Et je ne crois pas mettre cassée quoique ce soit. Voulez vous plus de renseignement Messieurs Lenaic ? Je serais ravie de vous éclairé. " Zack se senti un peu seul a ce moment là, personne ne lui adressait la parole il decida alors de partir. Il senter que l'homme voulait l'attaquer alors il decida d'annoncer qu'il devrait partir :

Bon et bien je ne vait pas vous derganger plus longtemp au revoir nessie et a bientot Abban Zack partit alors tout en fixan abban il savait qu'il vas devoir se battre contre lui...Il quitta les deux personnes en donnat a ses enfants un messages comme quoi il devait le retrouver dans l'entrpot désinfecter d'Anthalys...

Messages : 32 Date d'inscription : 27/08/2009

Soralya est une terre bien capricieuse. Même dans l'immensité du ciel on n'échappe pas aux lois de la nature. N'avez vous pas un étrange pressentiment ? Ne voyez vous pas les signe avant coureur d'une catastrophe naturelle. Lentement vous sentez le sol trembler sous vos pieds. Il se fissure et se dérobe. Les secousses deviennent de plus en plus fortes jusqu'à atteindre leur paroxysme. Et si l'épicentre du tremblement de terre était situé sur la ville même, d' Anthalys ? Impossible d'y échapper. Nul ne s'oppose à la nature. Ce qui doit arriver...arrivera.

Mais revenons en au fait. Les jardins suspendus de Soralya ne sont-il pas magnifiques. Soutenu dans les air par quelques solides piliers d'acier. J'ai dit solide ? Quelle grossière erreur. Le premier pilier cède, sa chute s'accompagne de cris d'horreur et d'effroi. La cohue se précipité pour descendre. La foule n'a jamais été un bonne endroit pour les enfants. D'ailleurs où sont ces charmants bambins, séparés de leur père ? Inutile de faire quoi que ce soit il est déjà trop tard, pour qu'il sache où se trouve sa charmante progéniture. Heureusement pour eux qu'un bon samaritain s'est occupé de les mettre en lieux sûr. Toutes les personnes présentes sont désormais descendues. Toutes ? Vraiment alors qui sont ces trois personnes perchées tout en haut de la plateforme ? Le sol n'a pas fini de s'ébranler. Les trois imprudentes personnes feraient mieux de s'accrocher où la chute risquerait d'être vertigineuse et... impardonnable...

Abban vit la jeune demoiselle donner un air contrariée. Etait-elle vexée par ce qu'il lui avait fait? Pourtant, une bise-main était une manière de saluer les nobles jeunes filles comme elle. D'ailleurs, elle répondit:

"Je me nomme Nessie-Anise-April, Myracle. Et je ne crois pas mettre cassée quoique ce soit. Voulez vous plus de renseignement Messieurs Lenaic ? Je serais ravie de vous éclairé. "

Elle avait accentué les syllabes de son nom. Voulait-elle jouer à ce jeu? Qu'elle continue! Cela ne servait à rien! Ses paroles n'enclenchaient pas une seule réaction du commandant. Peut-être que ce dernier avait été trop habituer à ces genre de réponse. Nessie avait du caractère, ce qui la rendait certainement plus marrante. Les jeunes filles qui étaient nées dans des familles de riches avaient normalement eût une éducation afin de les rendre polies, aimable, douce et gentille. Une épouse parfaite quoi! Mais là, cette gamine qu'il suspectait de ne pas être comme les autres jeunes filles sage et qui était sûrement une ennemie devenait de plus en plus intéressant. Il répondit ensuite, neutre:

"Je n'ai guère besoin de plus de renseignement Mademoiselle. Mais merci de votre réponse qui était tout à fait agréable."

Il tourna ensuite la tête vers Zack. Ce dernier était encore plus suspect avec son épée sur le dos. Mais d'où il venait celui-la? Ça ne devait sûrement pas être un soldat de l'Empire, sinon, le jeune homme aurait tout de suite reconnut son commandant. Abban le fixa, il allait lui demander d'où il venait, mais malheureusement, on lui coupa la parole:

"Bon et bien je ne vais pas vous déranger plus longtemps au revoir Nessie et a bientôt Abban "
-Euh oui, c'est cela. A bientôt?

Mais qu'est-ce que Zack -qui commençait à partir- voulait dire en espérant qu'ils se revoient? Est-ce qu'il allait le voir pour lui demander de travailler dans l'Empire? Fallait pas rêver! Le commandant se retourna ensuite vers la jeune demoiselle et allait continuer la conversation quand il sentit quelque chose lui tirer un peu sa veste. S'était Jazekael et Eireen qui lui donnèrent un étrange bout de papier. Il le prit et le lu, avant regarder tendrement et avec un sourire ses enfants.

"Mes chéris, qui vous a donné ce papier?"
-C'est le monsieur Soldat a qui tu parlais.
-Bien, merci, allez jouer un peu là-bas.

Il ne pria pas deux fois car les deux jeunes bambins décidèrent de partir jouer avec un petit chien. Abban plia le papier et la glissa sa poche, celle qui était la plus proche de ses deux katanas, avant de regarder la jeune fille qui était devant elle. Il avait reprit son expression froid et dur.

"Désolé, Mademoiselle de vous avoir ignorer pendant quelques temps. Notre cher ami Zack m'a donné un gentil rendez-vous. Mais bon, sinon....."

Un pilier céda, une foule incroyable entraînèrent Jazekael et Eireen avec eux, vers les escaliers. Heureusement pour eux, un homme qui devait être super gentil les emmena dans un lieu sûr. Au bout de quelques minutes, il ne resta sur la plateforme que Abban et Anise. Un grand morceau des escaliers s'étaient écroulés, créant un grand vide, et malheureusement pour les deux jeunes gens, il ne leur resta que une seule solution: sauter dans le vide. Mais cela ne tentait pas le commandant qui chercha du regard ses enfants, pour voir si ils étaient tombés dans le vide. En tout cas, il ne l'espérait pas. Il était excité, il recherchait ses progénitures tout en priant. Il allait sûrement en pleurer quand il vit qu'un homme de confiance les tenait dans ses bras, les mettant à l'abri du danger. Il soupira, se tourna vers Anise et dit:

"Mademoiselle, il me semble que nous sommes dans de mauvais draps."

Il regarda le vide. S'était trop haut pour invoquer Fenrir en bas afin de sauter sur son dos. Et sa chimère ne pourrait pas sauter d'aussi haut. Il se dirigea ensuite vers les escaliers, il pouvait sauter sans avoir de problème, ou presque. Le commandant réfléchit et soupira avant de retourner vers la jeune fille.

"Désolé, je n'ai guère le choix que de faire ceci. Accrochez-vous bien à moi."

Il la prit dans ses bras sans lui demander son reste et se dirigea vers le vide. Non, il se sauta pas. Il n'était quand même pas suicidaire à ce point. Il se retourna et courut en direction des escaliers à moitiés écroulés avant de sauter par dessus le trou. Il réussit à atterrir avec la jeune fille de l'autre côté. Malheureusement, il fallu qu'il se torde un peu la cheville et qu'il perdre équilibre. Ainsi, Abban qui se replia sur lui-même pour protéger la jeune Anise. Tout les deux dégringolèrent un peu des escaliers avant de s'arrêter au bout d'un moment. Le commandant eut vraiment du mal à se relever et à délivrer la jeune demoiselle. Elle n'avait rien, tant mieux! S'était Abban qui s'était tout pris! L'albinos s'assit sur une marche et regarda le reste du trajet à faire. Il ne restait plus que les trois quarts du chemins à faire...

"Est-ce que ça va?" demanda-t-il a Anise, se serrant les poings.

Il ne montrait aucune expression au niveau du visage. Mais on pouvait facilement deviner qu'il avait quand mal partout, surtout au pied.

Invité

Zack apres avoir donner le papier sembler regretter car il ne connaissait pas assez bien le
commandant chef, se qui l'inquieta fortement. Mais se qui est fait est fait... Alors qu'il allait partir un pilier
du jardin suspendu s'effondra. Zack fus vite demi-tour et vit deux jeunes enfants perdu en train de chercher
leur pere.

C'étaient les enfants de Abban, Zack courru vers eux il pensait que les sauver pouvait rattraper son erreur.
Il attrapa les enfants et regarda Abban avec un sourire et les emmenas vers un endroit ou il ne risquaient
rien. Abban lui sauva la jeune fille et courru vers les escalier qui justement alla s'effondrait. Il reussi tout
de meme a passer et soudain un enfant lui dit :

"Euh monsieur le soldat ? Merci de nous avoir sauver." Il regarda partout autour de lui et ajouta "ou est
mon pere ?
Il est mort ? Les enfants euent un moment de panique mais Zack les rassura :" Ne vous inquietez pas ! Votre
pere et sain et sauf ! Il a pris les escalier et a reussit a s'abriter, mais attendaient içi ont iras le voir apres les
enfants ! "

Zack regarda autour de lui et donna aux enfants une barre de chocolat pour les occupés... Les enfants la
mangèrent aussitôt et ils firent un signe de la tête pour remercier Zack de les avoir a la fois proteger et
aussi s'occuper d'eux. Puis Zack se redressa et alla voir si des autres personnes étaient en dificultées. Il y
avait une vielle femme prise au piege, Zack courruen sottant au dessus des buisson et pris la main de la
grand mere il l'ada donc a revenir mais la plaque se mit encore a bouger Zack appela une autre personne
pour l'aider et un jeune homme lui a justement preter main forte pour amener la vieille femme. Ainsi il
remrcia le brave homme et le salua. La femme petrifier de peur regarda Zack et lui remercia de l'avoir
sauver. Il souria et partit vers les enfants de Abban et leurs demanda de le suivre pour allez voir son père, il
mirent en route en contournant une maison il retrouva Abban et Anise les enfants se mirent à courirent vers
leur père Zack avança avec les enfants et regarda Abban avec u petit sourire et lui fit un clein d'oeuil...

[ Excusez moi du retard, mais j'avais commencé hier et tout c'est effacer puisque le forum a été remis a neuf ]

Après m'être présenté le commandant me répondis, se prenant au jeu.

"- Je n'ai guère besoin de plus de renseignement Mademoiselle. Mais merci de votre réponse qui était tout à fait agréable."

Je lui décochais un grand sourire joueur et mon côté enfantine passa au-dessus de tout les autres. Puis le commandant se retourna vers l'autre homme qui commençait a engager la conversation dans laquelle je ne me mis pas. Je pus toute fois entendre des salutation de Kack, auquel je répondis d'un esquissement de tête furtif. Je me perdais dans la contemplation des rosiers quand les deux enfants allèrent parler a leur père. Conversation que je ne suivis pas en entier, mais quelques phrases me parvinrent tout de même.

"- Mes chéris, qui vous a donné ce papier?
-C'est le monsieur Soldat a qui tu parlais.
-Bien, merci, allez jouer un peu là-bas. "

Ce petit échange fut suivi d'un bruit de froissement de papier. Je ne voulais guère en savoir plus. Cela n'était pas mes affaires. Mon regard divaguait entre les gens et la végétation alentour. C'était si beau tout cela. Le commandent laissa repartir jouer ses enfants, pendant que lui revint vers moi.

"- Désolé, Mademoiselle de vous avoir ignorer pendant quelques temps. Notre cher ami Zack m'a donné un gentil rendez-vous. Mais bon, sinon....."

Je répondis là aussi d'un esquissement de tête furtif, mon regard toujours en train de divaguer sur le monde alentour. Puis je finis pas m'arracher de ce spectacle et de me rapproché du commandant en chef. Un gentil rendez-vous ? Sa n'en avait pas l'air vus la lueur qui brillait dans les yeux du commandant. Mais ce n'était pas mes affaires et je n'avais point l'intention de m'étaler sur ce propos. Puis je sentis un grand tremblement ébranlé les jardins suspendus, fessant volé mes froufrous de ma robe a chaque coup de vent crée pas le fait que les jardins suspendus commencèrent dangereusement a tomber vers le vide qui nous entourais sur la droite. Je compris a la deuxième secousse crée par le pillé qui se fendais en deux et qui devait soutenir les jardins, que le moment était critique. Je pus voir le commandant a mes côté, quelque peu apeuré. Surement pour sa progéniture. Je me demandais par quel miracle je me tenais encore debout sur mes pieds. Je suivis du regard la foule et vis les deux enfants du commandant se faire aider pas un homme qui n'étais autre que Zack. Je soupirais silencieusement et le commandant fit de même - il avait du voir la même scène que moi -. Mon cerveau tournais a cent a l'heure. Que faire dans un moment comme cela ? Puis le père de famille m'interpela, ce qui me sortit de mes rêveries.

"- Mademoiselle, il me semble que nous sommes dans de mauvais draps. Désolé, je n'ai guère le choix que de faire ceci. Accrochez-vous bien à moi."

Je n'avais pas besoin de lui pour savoir dans qu'elle situation catastrophique nous étions. Les bruit de craquelures et de fendures ce firent de plus en plus intense, mêler sa a la brise claquante et tout les créateur de film serais ravit. Sauf que je n'avait pas l'intention de jouer les actrices. La dernière phrase du commandant me repassa dans la tête et j'us du mal a avaler ma salive. Quoi, comment sa m'accrocher a lui ? Je nus pas le tant de pensées a plus de chose que mes petite bottes a talons se firent quitté le sol, pour se retrouver en l'air. Des bras musclé se refermèrent autour de moi et, d'un tique, je commençais a m'agiter. Lui administrant quelques coup frêles criant des mots sans sens. Le commandant n'avait pas l'air d'être trop gêner pas mes gigotement. Il nous emmena vers un vieil escalier a demi effondrer. Prise par la peur j'arrêtais presque instantanément de bouger, essayant de me faire toute petite dans les bras du dénommé Abban. Mon cerveau avait faire le vide, plus rien ne comptais plus a par, moi, le commandant et ces jardins tombant en ruine. Abban se mit a descendre les escalier, maillant dans les bras. Un trous nous fessaient face, le père de famille sauta de l'autre côté mais perdit l'équilibre et se replia sur lui même. Prise de panique je fermais les yeux étouffant un sanglots. Je pus tout de même sentir une secousse, comme si nous venions de dégringoler quelques marches. Quand je me mis a re-ouvrir les yeux ce fut quand les doux rayons du soleil jouaient avec mes paupières clause. Le spectacle qui m'étais donné de voir me déstabilisa. Abban m'avais posé délicatement a terre et, malgré le faite que son visage sois un masque ne laissant rien transparaître, je pus voir une lueur de souffrance dans ces prunelles. Pourquoi m'avait t'il sauver ? Il savait très bien que j'étais un membre de la Rébellion. Et pourtant il m'avait sauvé et je lui en étais infiniment reconnaissante.

"- Est-ce que ça va? me demandât-il se serrant les poings. "

Mais je ne pus y répondre de vive voix sans lâcher un sanglot. Ne voulant tout de même pas l'inquiété plus je lui fit un signe approbateur de la tête avant de me relever. Je me rapprochait alors de lui, lui prenant la main je me mis a courir. Il nous restait encore beaucoup de chemin a faire et si nous restions sur place cela ne nous sauvera pas.Je descendis donc les escalier, sous l'emprise d'un instinct de survie. Lui était père de famille et moi fille unique de deux merveilleux parents. Il était pas conséquent hors de question de baisser les bras. Les jardins se mirent a pencher une fois de plus dangereusement vers la droite. Je lançais quelques regards furtifs en arrière histoire d'être sur de ne pas aller trop vite pour Abban. Qu'allions nous faire ? Je n'en avais pas la moindre idée.

Abban ne vit que la jeune fille lui répondre "oui" avec la tête. Avait-il été trop brusque avec elle en la prenant dans ses bras sans-même lui demander la permission? Ça se pouvait et de toute façon, il ne fallait pas oublier qu'il s'en fichait un peu des autres, mis-à-part ses deux enfants et ses rares amis. Il se mis debout, arrivant à supporter la douleur de ce qu'on appelait "entorse" avant de fixer Anise. Cette dernière lui tint même la main pour le forcer à courir afin de descendre les escaliers. Elle courrait aussi lentement que ça? Et ben! S'était pas gagner pour le commandant et la jeune demoiselle. Le jeune père s'aperçut que les escaliers commençaient à pencher un peu à droite. Le moment était venu pour lui d'intervenir. Ils n'allaient pas s'en sortir si jamais ils continuaient à courir de cette sorte! Abban se mordit la lèvre inférieur afin de passer la douleur de ses pieds à ses lèvres, sans avoir quelques difficultés. Ainsi, il pût courir un peu plus vite afin de rattraper Anise, et dans sa course la prendre dans ses bras.

*Je sens qu'elle va me hurler dessus... Mais bon, elle préfère quoi? Mourir ou bien se faire porter une deuxième fois?*

Le commandant courut comme ça pendant un bon bout de temps, faisant de son mieux pour ne pas tomber dans le vide à cause des trous. Il dût même se mettre à courir sur la largeur des escaliers à un moment car à un endroit, s'était complètement penché, perpendiculaire au sol. Quand enfin il fût sur un morceau d'escaliers pas encore touché par le tremblement, il profita de regarder un peu près dans combien de temps ils allaient sûrement rejoindre la foule qui était en bas. D'ailleurs, certaines personnes les observaient de loin, en priant pour eux ou bien en les encourageant. D'autres par contre faisaient des paris car on pouvait entendre de loin "Je paris plus de 1 350 koganes qu'ils vont mourir." et autres choses dans ce genre. Abban sentait qu'ils n'allaient vraiment pas en sortir. Même si il avait fait un très long service militaire qui lui avait permis de lui apprendre à courir vite, à sauter haut et loin et à faire beaucoup de choses qui étaient utiles dans cette genre de situation. Mais malheureusement, même si il allait à cent kilomètres par heure, les escaliers commençaient à s'effondrer de plus en plus rapidement. Il ne restait qu'aux jeunes gens que une seule solution.

"Mademoiselle Anise, n'ayez pas peur de l'animal que vous allez voir à présent...."

Tout en courant et en évitant les obstacles, il fit une sorte de prière. Il dégagea pendant une aura noire et obscure. Devant les deux jeunes gens, une forme noire apparût. Elle courrait elle aussi. Quelques secondes après, on pût voir ce qu'était la chose devant le commandant: un loup noir de plus de deux mètres avec des marques bleus-glace. Abban fit un grand bond -il y a toujours Anise dans ses bras- avant de prendre appuie sur un rembarde de l'escalier et sauter sur le dos du loup. Il posa la jeune fille sur le pelage.

"Mademoiselle, veuillez bien vous accrocher à moi si vous ne voulez pas tomber."

Il s'essaya sur Fenrir qui courut en toute vitesse. C'était largement plus pratique de fuir la mort en dos de loup qu'à pied. Mais malheureusement, la chimère faisait peur. Elle ressemblait à un loup normale. Okay, peut-être qu'elle était noire. D'accords elle mesurait plus de deux mètres. Mais elle dégageait quand même un petit plus. Était-ce à cause de ses dons de ténèbres qui donnaient la frousse à tous ceux qui la voyaient, mis à part son maître et ses enfants? Certainement. L'animal courrait à toute vitesse, et au bout de quelques minutes, Abban et Anise étaient en sécurité près de la foule, loin des escaliers qui s'effondraient. Le commandant prit Anise dans ses bras et sauta au sol pour la lâcher ensuite. Il serra ensuite son poing droit sur ses armes, tellement il avait mal au pied. Fenrir s'en aperçut et lécha son maître.

"Ça va aller Fenrir. Je t'en remercie."

Il commença à le caresser quand il entendit deux petites voix l'appeler "papa". Il se retourna et vit Jazekael et Eireen courir dans sa direction avec des larmes aux yeux. Il ne pût s'empêcher de se jeter sur eux et de les serrer dans ses bras bien fort. Ils étaient tout les trois par terre, en train de pleurer. Il s'était inquiéter pour eux, il avait eût peur qu'ils soient orphelins et qu'ils soient adoptés par des Rebelles. Le commandant pleurait, soulagé de voir ses enfants, les prunelles de ses yeux, ses trésors, les seules personnes qui le tenaient encore à la vie, encore vivants et en pleine santé. Un jeune homme arriva, s'était Zack. Ce dernier lui fit un clin d'œil avec un sourire.Abban le regarda et lui répondit:

"Merci beaucoup jeune homme. Comment puis-je te remercier de ce que tu as fait pour mes enfants?"

Invité

Zack avança avec les enfants en larmes qui criaient "PAPA" Abban leur père fit couler quelque l"arme de
joie pour les avoir retrouvés. Zack regarda Abban, il lui souria et lui fit en clein d'oeuil. Abban lui regarda
Zack en souriant et alla le voir. Il dit alors : "Merci beaucoup jeune homme. Comment
puis-je te remercierde ce que tu as fait pour mes enfants?" A ce moment là Zack eut a nouveau confiance en lui et
senti que l'homme et lui allaient bien s'entendre enfin c'est se que l'on vera par la suite. Zack fit un
sourire et lui expliqua qu'il ne pouvait rien faire en echange, mais Zack voulez lui dire une seule chose il

lui dit alors : "Pour me remercier retenez juste sa : Gardez votre sens de l'honneur ! Sinon vous ne me devez
rien. Vous auriez fait la même chose alors sa ne sert a rien... Euh les petits ! Tenez c'est pour vous...
Il donna au enfants deux barres de chocolat et leur souria. Puis il pencha sa tete sur le côté en regardant Anise.
Il lui souriat et regarda une nouvelle fois Abban il regarda autour de lui et se grata l'arriere du crâne

et regarda une nouvelle fois Abban

Il est vrai que je ne courais pas vite. Mais a quoi s'attendre venant d'une jeune fille ébranlé par les évènement et portant des talons et une robe froufroutante ? On reconnais bien les hommes là ! Toujours a nous faire la morale sur notre lenteur, mais j'aimerais bien les voir a l'œuvre moi ! Abban se mis a accéléré la cadence et je le laissait ainsi me rattrapé, pensant qu'il ne voulais qu'ouvrir le chemin. Malheureusement pour moi, me venais bêtement de me trompé sur ses intentions. Quand il fut a mes côté la scène que j'avais tant détesté se reproduis une seconde fois. Les même bras que la dernière fois vinrent m'entourer et me détaché du sol. Prise de panique, je me mis a tressaillir sous l'emprise du commandant qui continuait son chemin comme si de rien n'était. Mes doigts se refermèrent une nouvelle fois sur le haut de sa tunique et mes yeux se fermèrent par réflexe. Je sentais l'adrénaline monter quand Abban me lança :

"- Mademoiselle Anise, n'ayez pas peur de l'animal que vous allez voir à présent."

Interloqué j'ouvris de grands yeux. Devant nous se tenait une grande bête noir qui ressemblais fortement a un loup. Mon emprise sur le haut de l'invocateur se fit plus ferme. En moins de temps qu'il en faut pour d'écrire la scène, nous étions déjà sur le doux pelage de l'invocation qui continuait de courir. L'homme me demanda de bien me tenir, ce qui fut inutile puisque je le tenais déjà fortement. Être sur le dos d'une telle créature me donnait des impressions de rêve, que bizarrement j'appréciais. Il us ensuite un échange entre la création et le créateur puis celui-ci s'installa à mes côté. Nous quittâmes les éboulis à une vitesse fulgurante. Ne voulant pas oublier ce merveilleux moment je me mis a regarder admirativement les alentour. C'était si beau. Les jardins s'effondrant était vraiment quelque chose que je n'oublierais jamais. Nous arrivâmes trop tôt a mon gout, près de la foule en sécurité. Là l'invocateur me repris dans ses bras pour me posé a terre. Cela me parut un geste maintenant familier, et j'en profitais pour caresser la créature magnifique. Abban fit de même et je finis par lui sourire chaleureusement, oubliant le fait que nos deux camps étaient ennemis. Bizarrement je m'en fichais de nos diffèrent, sachant tout de même que j'avais une dette envers ce père de famille. De petites voix appelant " papa " a tu-tête se firent entendre, suivit de deux petites frimousses courant dans notre direction. Mon sauveur se jeta sur les deux petits ben-bains et cette scène de retrouvailles me touchas énormément. Tour trois pleurais tous enlacer. Quoi de plus beau ? Un jeune homme que je reconnus comme étant Zack, arriva a la suite des deux petits choux et le père de famille le remercia.

"- Merci beaucoup jeune homme. Comment puis-je te remercier de ce que tu as fait pour mes enfants?
- Pour me remercier retenez juste sa : Gardez votre sens de l'honneur ! Sinon vous ne me devez
rien. Vous auriez fait la même chose alors sa ne sert a rien... Euh les petits ! Tenez c'est pour vous. Il donna au enfants des barre que je reconnues comme des barres chocolaté. "

Ils s'étaient finalement mis d'accord et moi dans tout ça je n'avais même pas remercié mon sauveur. Je pus sentir le regard de Zack sur moi et, retournant la tête vers lui je pus voir qu'il me regardais belle et bien. Je lui lançais un léger sourire avant de tiré sur la manche du père de famille qui devait se relever. Celui-ci ce tourna et me fixa, prise d'embarras je baissais mon regard sur le sol adoptant une couleur rosie au niveau des joues. Après mettre éclaircie la voix je finis enfin par balbutié des semblant de remerciement.

"- Heum, m... Merci pour m'être venus en aide. C'était gentil de votre part ... Enfin, voila ... J'veux dire que ... "

Je n'arrivais même pas a faire une phrase sensé et complète. Je rougie de plus belle et baissais encore plus la tête. Après être rester quelques minutes comme sa je fis une nouvelle tentative qui fut beaucoup mieux réussi.

"- Abban, merci ! Lui lançais-je aillant relevé la tête et le fixant d'un regard pétillant de détermination. Puis tout cela disparu et je me rendis enfin compte que je tenais encore sa manche. Prise d'embarras je l'a-chais le tissu, ramenant ma main derrière mon dos en fessant un pas en arrière. Ha ! Padons ... Je voulais pas ... Heu ... "

Je finis pas re-baisser la tête vers le sol avant de laisser un petit rire échapper de mes lèvre tellement ce que je venais de faire me paraissais bête. Depuis quand étais-je aussi timide ? Je me mis a lissé ma robe du plat de mes mains, comme a mon habitude et finis par pensée que mes parents ne rentrerais que demain. Qu'allais-je faire de ma journée ? Je n'en savais. Au puis tant-pis, j'avais toute la journée devant moi pour y réfléchir.

Zack lui répondit de garder son sens de l'honneur, comme si Abban allait le perdre. Sa fierté n'allait quand même pas l'obliger à perdre son honneur quand même. Par contre, "vous auriez fait la même chose"... C'en était une toute autre chose. Si il avait sauver cette Rebelle, s'était parce que s'était une être humaine, voilà tout! Qu'elle ne méritait pas de mourir de cette sorte. Et puis pour ce Zack, cela dépendrait évidemment de son humeur. Parce que si ce jeune homme allait tomber de plus de vingt mètres avec son épée, le commandant ne serait vraiment pas sûr de pouvoir le porter et de courir avec lui dans les escaliers, comme il l'avait fait avec Anise. Il faut dire aussi, vu l'arme du jeune sauveur, qui voudrait bien sûr le prendre dans ses bras? Personne. A part un homme assez musclé. Le commandant vit le jeune homme donner deux barres chocolatés à ses deux enfants qui répondirent alors "merci" à leur sauveur, comme leur avait enseigner leur père qui leur avait bien expliquer qu'il fallait être poli pour être un bon citoyen. Comme ils étaient choux! On aurait presque envie de les manger. Mais enlever la vie à des bouts de choux comme ça était du gâchis. Le commandant fit un bisous sur la tête de ses enfants avant de sentir quelque chose le relever. S'était Anise. La jeune demoiselle lui tirait la manche, comme le faisaient souvent Jazekael et Eireen. La jeune demoiselle semblait être dans l'embarras quand le commandant se mit à la regarder. Elle était même devenue un peu rose. Avait-elle un petit côté timide qu'elle n'avait pas oser montrer en haut, dans les jardins, quand ces derniers étaient encore en très bon état?

"- Heum, m... Merci pour m'être venus en aide. C'était gentil de votre part ... Enfin, voila ... J'veux dire que ... [Elle baissa encore plus la tête avant de rougir encore plus.] Abban, merci!
-De rien, mais il ne faut pas trop me remercier, il est dans mon devoir d'aider le peuple.

Il vit la jeune fille lâcher d'un coup le tissus et lui demander pardon, encore plus embarrassée. Est-ce qu'il y avait quelque chose de mal à tirer du tissus? Certainement, vu l'état de la jeune demoiselle. Le commandant laissa échapper un soupire, frotta la tête d'Anise et répondit:

"Pas grave, je ne vais pas en mourir. [Il se retourna en remarquant que ses enfants épuisés baillaient, le prit dans ses bras et se tourna ensuite vers Zack et Anise] Malheureusement je vais devoir y aller, Jazekael et Eireen doivent être épuisés maintenant, je vais devoir les coucher. Sur ce, je vous salue et vous souhaite une agréable journée."

Il partit, ne demandant guère son reste. Les enfants s'étaient endormis dans les bras de leur père qui boitait un peu. Mais ce n'était pas la mort. Fenrir, quand à lui, rejoignit son maître dans les rues avant de disparaitre dans un faisceau de ténèbres. Il n'avait pas arrêter cette petit Rebelle, mais peut-être qu'un jour, quand il la recroisera, il le fera.

[HJ: Désolé si c'est nase, mais pour moi, c'est terminé mes coco

]

( Pas grave, je ne fait pas mieux ^___^ Bon vus que notre compatriote n'est plus je me permet de clôturer le rp. J'ai vraiment aimer rp avec vous, merci )

Le haut placé baisa le front de ses deux bambins quand je lui pris la manche. Pourquoi faire ? Hé bien c'est simple, j'avais réellement l'intention de m'excuser auprès de mon vis-à-vis qui m'avait tout de même sauvé d'une mort certaine. J'avais parfaitement conscience que ma couverture avait sauter et que le père de famille avait compris le camps que j'avais choisis ; les rebelles. Je ne lui demandais ni compréhension (qui ne m'aurait certainement pas donner), ni gentillesse. Si il avait pitié de moi et bien soit, qu'il continu à avoir pitié. Et surtout si il voulait me passer les menottes et m'embarquer de force jusqu'à un lieu secret ou se déroulerais un interrogatoire, je ne le tuerai pas pour cela. C'était son boulot après tout, puis j'avais parfaitement conscience de ce dans quoi je m'embarquais en acceptant de faire partie de cette ligue mal vue par la société. Quoique entre nous cela m'étonnerai vraiment que je père de famille m'incarcère devant ses deux boues de choux. En cerait-il capable ? Qui sait.
C'est donc dans un élan de politesse sur-dimensionner que je me mis à bafouiller un semblant d'excuse au haut placé que me fessait face à présent.

<<

Heum, m... Merci pour m'être venus en aide. C'était gentil de votre part ... Enfin, voila ... J'veux dire que ... Abban, merci.

Lui lançais-je aillant relevé la tête et le fixant d'un regard pétillant de détermination. Puis tout cela disparu et je me rendis enfin compte que je tenais encore sa manche. Prise d'embarras je lâchai le tissu, ramenant ma main derrière mon dos en fessant un pas en arrière.

Ha ! Pardons ... Je voulais pas ... Heu ...

>>

Je devait avoir l'air d'une parfaite idiote, mais je m'était au moins montrer polie. Il me répondis que ce n'était rien et que c'était son devoirs d'aider le peuple. Rien que ca ! Je ramenais mes mains à mes joues brulantes, espérant évènement leurs faire perdre leurs couleur rosée. Il passât ensuite une main dans longs cheveux et les ébouriffa. Je le fixait les yeux rond et essaya de remettre de l'ordre dans ma chevelure. Vous devez me prendre pour une folle, mais ce geste m'avait vraiment fait plaisir. Il s'excusa de devoirs quitté notre compagnie et je lui répondis d'un geste de la mains :

<<

Nan, nan. Ce n'est rien. Bonne route !

>>

Il nous tourna le dos et partit, ses deux enfants dans les bras. Quand j'eus finit de mette un minimum d'ordre dans ma chevelure je me mis à sourire chaleureusement, regardant le large dos s'éloigner puis s'effacer dans la pénombre. Alors, et seulement alors, je m'excusais moi aussi et pris le chemin du retour. Je venais de vivre une journée pour le moins usante, mais aussi exceptionnelle et je venait d'en apprendre beaucoup aujourd'hui.
Une fois de retour chez moi, je me repassais un coup de brosse et enfila une autre robe, moins déchirer que celle que je portais. Je fis un saut dans la cuisine, y prenant un petit sandwich que ma mère avait préparé et ressortit dehors, mais cette fois direction la place centrale. Étant fille unique et grande aimante de l'exterieur je passais alors toute ma journée dehors. J'avais pour habitude de rentrer que quand le soleil c'était couché et mes parents, lassé de me sermonner, me laissait faire tranquillement.

Sujet clos?

O